C'était une autre session de trucs inavouables que j'ai avoué. Voilà.
À votre tour !
Je vous met une fois de plus au défi de m'avouer UN truc inavouable dans les commentaires ! La dernière fois j'ai eu des aveux gentils, d'autres un peu trash (cc Anaïs).
Ah et bien entendu, celui/celle qui me donne le nom des chansons ainsi que le film dans lequel elles apparaissent, remporte un cookie virtuel. :D Facile !
Ah oui, j'ai changé un peu le blog. Bon ok, c'est plutôt un gros changement parce que j'ai enfin viré cet horrible fond noir dégueulasse. Du coup l'herbe et les pissenlits ça fait vachement Pocahontas, je sais pas si ça va rester pour toujours... Mais on respire déjà mieux non ? Ça agresse moins les yeux.
J'ai rien d'autre à dire, sinon merci d'être toujours plus nombreux à venir jeter un coup d'œil ici. Vos messages m'encouragent à aller toujours plus loin toujours plus haut toujours plus fort et je sais pas ce que je ferais sans vous. ^^
Sur ce,
À (peut-être) la semaine prochaine, bande d'objets redondants !
Pfiou. C'était long, hein ? Ça devait pas être aussi long à la base (et j'ai même enlevé plein de trucs, sinon le strip aurait fait 10 pages.)
C'était juste pour vous raconter mes 18 ans, du coup (que j'ai eu le 10 novembre). Tout ça pour dire que fêter un anniversaire tout seul, c'est pas cool. Surtout lorsque c'est l'anniversaire de la majorité.
Bon de ce fait j'ai pas grand chose de plus à vous raconter. Vu qu'en ce moment on a pas mal de devoirs, une fois de plus je ne sais pas si j'aurai le temps de vous faire un strip pour la semaine prochaine. Croisons les doigts, et sur ce,
À (peut-être) la semaine prochaine, bande de faucons égyptiens !
C'est trop has been de fêter Halloween le 31, alors nous comme on est des artistes trop rebelles, on fête ça 1 semaine + tard et on raconte ça sur nos blogs encore 1 semaine après. Han.
Et encore, je vous ai pas raconté la pause de midi lorsqu'on est tous allés acheter des trucs à Intermarché. Déguisés. Hahaha.
Et j'ai pas que ça à vous montrer ! Comme ce lundi c'était mon anniversaire, bah on m'a offert quelques pitits trucs :
Ça c'est de ma pote Violette ! Un petit bonus à la journée Halloween, parce que j'arrêtais pas de secouer la tête pour chasser mes cheveux. Pas pour me la péter, hein. Bon, si, un peu en vrai.
Et pour terminer, une Mimosa en M&M's (j'vous avoue que non, je n'y aurais pas pensé), et ça a été fait avec amour par Macee de Macee & Aerolink's universe et je dois dire que ça me met légèrement (trèèès légèrement) l'eau à la bouche !
C'est tout pour cette semaine. Du coup si j'ai le temps de faire un strip la prochaine fois, je vous parlerai de mes 18 ans (parce que mine de crayon de rien, c'est pas rien, 18 ans). :D
Sur ce,
À (peut-être) la semaine prochaine, bande de zombies poilus !
Salut à tous et à toutes ! On se retrouve pour une petite critique cinématographique de La Légende de Manolo ("The Book Of Life") que je suis allée voir un dimanche après-midi où j'avais rien à faire. Pour commencer, voici la bande-annonce :
J'ai vu la bande-annonce par hasard au cinoche, et ensuite la pote Saphi' en a fait une critique qui m'a donné envie de le voir... Mais autrement je n'avais jamais entendu parler de ce film (dans les cartons depuis 14 ans !!). Alors voyons ce que ça donne :
Manolo et Joaquin, deux amis d'enfance inséparables et chacun destinés à un avenir glorieux, sont amoureux de Maria. Dès lors, les divinités du monde des Morts décident de se lancer un pari pour savoir lequel des deux épousera la demoiselle lorsqu'elle reviendra d'Espagne.
Les garçons grandissent : Manolo devient torero comme son père et son grand-père avant lui, mais refuse de mettre à mort les taureaux et préfèrerait devenir guitariste et chanteur. Joaquin quant à lui, devient un général victorieux et plein de courage. Lors du retour de Maria, ils vont rivaliser d'audace pour la séduire, et alors que Manolo est sur le point d'y arriver, Xibalba ne supporte pas de perdre son pari et tue Manolo. Celui-ci pourra revenir dans le monde des vivants seulement s'il parvient à remporter les épreuves du monde des morts... J'ai fait court, y'a pas mal d'intrigues qui s'emmêlent.
On commence comme d'habitude par le graphisme ! Lorsque j'ai vu la bande-annonce, c'est ce graphisme original et à la fois curieux qui m'a attirée et donné envie de voir le film. Et je n'ai pas été déçue ! Les personnages sont hauts en couleur, ce style "pinocchiesque" colle très bien à l'ambiance et le monde des morts est... fantastique ! Il y a des couleurs partout, ça explose, non sans nous rappeler Les Noces Funèbres de Tim Burton (contraste beaucoup + marqué cela dit)... Le chara-design est varié et très fun, j'ai eu un gros coup de cœur pour le design de la Muerte. C'est tellement chouette que ça nous fait regretter les quelques passages hors du récit enchâssé, dans lesquels on retrouve des personnages trop lisses et trop parfait à mon goût. Mais sinon, que du bonbon pour les yeux !
Passons maintenant aux personnages ! Il y en a beaucoup, et surtout beaucoup qui sont très bons !
Tout d'abord, Maria : La demoiselle a été une agréable surprise : Loin d'être la cruche de base qui attend que son prince charmant vienne la sauver, Maria s'avère être forte, intelligente et défend même des valeurs féministes !Elle prouve qu'effectivement, les femmes sont pas juste là pour faire la popotte et être jolies, et rares sont les films d'animation qui s'aventurent sur ce terrain-là !
Ensuite, la galerie de personnages secondaires : Chaque film à son lot de personnages dont on se passerait bien, et la Légende de Manolo en fait hélas partie. Je pense notamment au grand-père Sanchez, et aux autres membres de la famille de Manolo (sauf pour les parents). Mais également aux musicos... Ces personnages sont là pour le comique, mais comme souvent ne sont pas vraiment drôles et j'aurais préféré qu'ils s'en tiennent à un rôle de simple figurant. Je passe ensuite à Joaquin. Un side-kick bien particulier car il est à la fois le meilleur ami et le rival du héros. C'est un mélange intéressant puisqu'il est à la fois très drôle, charismatique et attachant. On adorerait qu'il finisse avec Maria, mais on sait bien qu'elle est faite pour Manolo. Joaquin est donc un personnage qu'on aime et qu'on déteste à la fois, ça varie. Mais pour ma part, il reste quand même extrêmement cool, et c'est un rival redoutable pour Manolo.
Je passe vite sur le Dieu Chambellan, qui aurait pu être intéressant et drôle s'il n'avait pas été relégué à la simple caricature de Bob Marley (un peu comme la chenille Nim Galuu dans Epic : La Bataille du Royaume Secret) . C'est un élément-clé de l'intrigue, et il est, je trouve, bâclé.
Viennent ensuite Xibalba et la Muerte. Mon couple préféré du film. Outre le fait que ce sont les deux personnages aux designs les plus chouettes du film, ils occupent à la perfection le rôle qui leur est attribué, à savoir celui de Dieux. Ils sont hautains, indifférents au sort des hommes et ont un charme fou (sisi, les deux). Cependant, ils ne sont pas malveillants et du fait de leurs lignes de dialogue très bien écrites et de la relation qu'ils entretiennent, ce sont pour ma part des personnages que j'ai adoré voir évoluer à l'écran. Bon, ok, surtout la Muerte. Elle est trop belle.
Pour terminer, Manolo. El Manolo. Un héros épique, touchant, drôle. Il est adorable, on l'aime dès les premières minutes de film et en plus il chante bien. J'ai une petite préférence pour le Manolo décédé (rien à voir hein, je préfère juste le design), mais tout ce qui se passe dans le monde des vivants à ses côtés est génial. J'adore, quoi.
On passe maintenant au scénario ! Comme dit plus haut, La Légende de Manolo développe énormément d'intrigues et aborde de nombreux thèmes, ce qui n'a pas été pour me déplaire. On va essayer de faire le tri.
L'histoire principale, à savoir "qui des deux garçons va pécho la gonzesse", est très bien racontée. C'est fun, il y a une vraie évolution et les auteurs n'ont pas choisi la facilité (comme je l'ai dis, Joaquin est très bien !). C'est une histoire d'amour et d'amitié comme on les adore. Le seul point qui m'a dérangé est le suivant (spoiler - pour lire sélectionnez le texte) : Lorsque Manolo meurt, Xibalba gagne le pari. Sauf que le pari impliquait que Joaquin épouse Maria, hors ce n'était pas encore le cas. Vous allez dire que je chipote, n'empêche que d'habitude dans leurs paris, les dieux sont plus à cheval que ça sur la formulation exacte des faits. Maria aurait très bien pu ne pas épouser Joaquin, et dans ce cas ni Xibalba ni la Muerte n'aurait remporté le jeu. La seconde intrigue aborde les thèmes de l'héritage familial, et amène notamment le débat sur la corrida. Et là, bien que voir un débat aussi polémique être abordé dans un film d'animation m'a agréablement surprise, j'étais déçue que la question finisse par être tranchée. Sans spoiler, j'aurais aimé que le père de Manolo se montre un peu plus persuasif et ne laisse pas tomber ses convictions d'un coup (d'autant que je connais et comprends son point de vue, je suis née en Camargue. Je dis pas que là-bas la Corrida c'est le sport national, m'enfin bon...).
Un autre grand thème abordé est celui du destin/fatum, et de la fatalité (c'est là que le titre du film en VO, "The Book Of Life" prend tout son sens (un de mes moments préférés du film)) ; chacun est maître de son destin, etc. On a beau nous le rabâcher dans des tas d'histoires, on ne s'en lasse jamais, pour peu que le thème soit aussi bien traité que dans la Légende Manolo ;)
Oh, et petit bonus sur le clin d'œil au mythe d'Orphée et Eurydice, j'ai adoré ! Et je m'arrête là pour le scénario.
Paragraphe rapide sur la VF et la 3D :
J'étais scotchée de voir que la VF est bonne au point que les chansons sont agréables à écouter (voire à fredonner en sortant de la séance). Sérieux. C'est hyper bien doublé, bien chanté, et ils ont même fait attention au lip-sync OwO J'aime !
Pour ce qui est de la 3D, je regrette tellement de ne pas avoir pu prendre une séance... Ça pète de partout, avec les couleurs et les décors du monde des morts, ça promet une 3D sensationnelle ! Donc si vous avez le choix, je vous conseille de vous faire plaisir.
Et nous terminons comme toujours avec la musique !
Que dire, que dire ? Si je n'ai pas remarqué de bande-son particulièrement intéressante, la qualité des chansons ne m'a pas échappée. Elles sont là où il faut, quand il faut, et surtout il n'y en a pas TROP (coucou les réal's de Frozen, prenez note). La plupart sont interprétées par Manolo (doublé par Diego Luna en VO) et elles sont sublimes, vraiment. Elles collent à l'ambiance et aux personnages à la perfection, et en général les séquences qui les accompagnent sont vraiment superbes. Gros coup de cœur sur la musique (du moins les chansons), donc.
Comme toujours je vous laisse avec le morceau qui m'a le plus marqué. Bonne écoute :
Petit bilan sur ce film d'animation et de ce que j'en ai pensé : Un film original, drôle, et assez touchant. Malgré quelques défauts qu'on retrouve assez souvent dans les films d'animation, La Légende de Manolo pourrait tout à fait être comparable à un Disney ou un bon Dreamworks. Sans prétention aucune, il nous raconte une histoire à la fois épique et pleine de tendresse, avec des personnages vraiment attachants et un graphisme qui fait plaisir à voir. Je me demande même si ce ne serait pas mon coup de cœur de cette année en matière d'animation. Quoi "Dragons 2" ? Keskiya "Dragons 2" ?
En bref, un film à surtout ne pas louper. ;)
À bientôt pour de nouvelles critiques ! N'hésitez pas à laisser votre propre avis sur le film dans les commentaires !
Toutes les images issues du film The Book Of Life dans cet article
Yo tout le monde ! J'ai pas de commentaires à faire pour le strip de cette semaine x) Certains d'entre vous devaient être contents de revoir Johnsson après tout ce temps, les autres ont dû être totalement largués. J'avoue que c'était plus un exercice que je me suis donné (mise en scène, cadrage...) plutôt qu'un véritable strip comme je fais d'habitude. J'espère quand même que ça vous aura divertis :D
Bon je ne viens pas tout à fait les mains vides, pendant les vacances j'ai eu le temps de faire pas mal de choses, incluant des visionnages de films que j'avais pas vus depuis longtemps... Trêve de bavardages, aujourd'hui je rend hommage au studio Laika !
En revoyant Coraline et Paranorman, j'ai eu cette idée de crossover avec chaque héros et son antagoniste principal respectif. C'était sympa de refaire ces personnages :p
Au final le rendu n'est pas celui escompté, j'espérais faire un truc un peu + morbide et du coup représentatif des 3 univers (pis faut vraiment que je m'améliore en colo sur Toshop)... M'enfin entre-temps je suis allée voir un autre truc au cinéma et du coup je n'étais plus dans le mood. Alors j'ai préféré terminé ce fanart plutôt que de galérer dessus pendant 10 ans. BREF. Si vous n'avez vu aucun des films représentés, honte à vous. :0
Je n'ai rien de plus à vous dire. Par contre surveillez le blog ce week-end, car normalement je posterai une petite critique sur La Légende de Manolo ;)
Sur ce,
À (peut-être) la semaine prochaine, bande de cactus !
Salut à tous et à toutes ! On se retrouve pour une petite critique cinématographique du récemment sorti Les Boxtrolls ("The Boxtrolls") que je suis allée voir pendant mes vacances. Pour commencer, voilà la bande-annonce :
Fan des films précédents de ce studio (Coraline et Paranorman), je surveillais l'arrivée de ce petit ovni d'animation depuis quelques temps déjà. Voyons ce que ça donne !
Dans la ville de Cheesebridge, le quotidien des habitants est habité par deux choses : le fromage et les boxtrolls. Ces derniers sont réputés pour être d'effroyables monstres vivant des les souterrains et qui, la nuit, kidnappent les enfants et dérobent les objets précieux. Mais la vérité est ailleurs : Œuf, un garçon élevé par les boxtrolls, va tenter de montrer au monde leur véritable visage et par la même occasion, déjouer les plans des parasiteurs qui tentent d'exterminer sa famille d'adoption.
On commence traditionnellement avec le graphisme du film : Que puis-je dire ? J'ai simplement adoré ! J'étais déjà fan des films qui l'avaient précédé, alors de ce côté-là je n'ai absolument pas été déçue ! Les personnages sont toujours aussi caricaturés (mais moins tordus que dans Coraline, en revanche), les trolls sont variés et ont tous une bonne tronche... Les décors sont chouettes, les ambiances dépeintes par les couleurs sont géniales et du coup le tout est super cool ! De plus l'animation (stop-motion me semble-t-il) est fluide, nickel, PAR-FAITE. Le rendu donne donc un film vraiment appréciable pour nos mirettes ! Ça change un peu des chara-design trop lisses et parfaits à mon goût, en tout cas :p
On passe maintenant aux personnages ! Ça va être un peu long mais c'est parce qu'il y a pas mal de persos dont je veux parler.
Donc pour commencer : Les boxtrolls. Quelques-uns se détachent du lot, comme Soulier, Poisson et quelques autres (ils sont nommés d'après leurs emballages) et ils sont tout simplement adorables. Ils sont drôles, attachants... (et en plus ils ne chantent pas. Les créateurs de Frozen devraient prendre des notes.) Présents où il faut quand il faut, les boxtrolls sont de vrais copains et on les aime.
Ensuite, les trois "déparasiteurs", à savoir M.Truffe, M.Poireau et M.Gratton. Si ce dernier est le second couteau abruti de base (mais il est drôle, on pardonne), je réserve une mention spéciale à Truffe et Poireau qui ont été une agréable surprise. À chacune de leur apparition, ils se posent des questions sur le bien, le mal (avec une touche d'humour qui n'est pas pour déplaire) et si ce qu'ils font est réellement synonyme de justice. En réalité les créateurs ont décidé de jouer avec ces deux personnages qui ont conscience de leur mauvais rôle, et cela ouvre toujours à plus d'interrogations (personne n'est tout blanc ou tout noir, etc etc). Et on salue ces deux personnages finalement assez attachants avec une scène post-générique extra !
Vient ensuite Winnie, la fille de noble qui va accompagner Œuf dans ses aventures. Elle a sa propre histoire et trace son propre bonhomme de chemin, ce qui est plutôt cool. C'est une fille forte avec un sale caractère. Elle est drôle, touchante et je la ship tellement avec Œuf. Je sais qu'ils n'ont que 10 ans, mais je les ship. ♥ Bon par contre parfois elle est flippante, un peu.
On passera assez vite sur les personnages des pères respectifs de Œuf et Winnie qui sont en réalité assez anecdotiques dans le film. Ce n'est pas très grave pour le père de Winnie, ça m'embête un peu plus pour celui de Œuf. Son statut de père du héros devrait le pousser sous le feu des projecteurs mais en même temps il n'a pas fait assez de choses pour qu'on s'intéresse à lui. Tricky. Et dommage.
Maintenant, parlons du meilleur personnage du film : Non, non, pas le héros, non. Mais Archibald Trappenard (c'est mon avis, en tout cas). C'est le tout premier personnage que l'on voit, et il semble beaucoup plus abouti que n'importe qui d'autre dans le film. D'ailleurs j'ai l'impression qu'on le voit plus que héros lui-même (est-ce que c'est bien ou pas ? Je ne saurais le dire). Pour la petite histoire, Archibald est obsédé par l'ascension à la noblesse, et va alors mettre en œuvre l'extermination des boxtrolls, clé de son succès. Il est maléfique, terrifiant, c'est un méchant excellent ! Il est convaincant, crédible (vous rigolez mais ça devient rare dans les films d'animation) mais reste tout de même hilarant.
Mais attendez. Œuf aussi est bien. C'est l'enfant sauvage, tiraillé entre ce qu'il est de nature et sa famille de cœur. Il est naïf, innocent, drôle et assez attachant. C'est aussi le personnage qui va pousser les autres (notamment Winnie) à ouvrir les yeux et à voir plus loin que le bout de leur nez. Et puis il a une bonne tête, quoi.
On passe maintenant au scénario ! Vous savez que c'est en général à ce moment-là que je commence à mettre beaucoup de rouge dans mes critiques ^^ Et bien Boxtrolls y passera aussi, mais pas forcément là où on pourrait croire. En réalité l'histoire est assez simple. C'est un schéma plutôt classique mais qui marche, il n'y a pas de faiblesse ni de trou, donc tout roule de ce côté-là.
En revanche, il y a pas mal de longueurs. Certaines scènes m'ont parues assez longues pour rien, et je me suis ennuyée plusieurs fois. C'est surtout le début du film qui souffre de ces longueurs car j'ai personnellement eu du mal à m'accrocher tout de suite. Ça prend un peu de temps pour décoller, quoi.
Mais ça reste tout de même un film assez divertissant, parsemé de dialogues plein de finesse et ça fait plaisir.
Rapide paragraphe sur la VF et la 3D :
Je n'ai pas eu l'occasion de le voir en 3D, mais sachez simplement qu'elle n'est pas indispensable pour apprécier le film. Comme je l'ai dis plus haut j'ai vraiment adoré les graphismes et je n'ai pas eu besoin de payer [insérez le prix d'une séance 3D dans votre cinéma ici] pour en profiter.
Pour ce qui est de la VF j'ai été surprise ! Même si je n'ai reconnu que peu de voix, la qualité du doublage était vraiment bonne et même le lip-sync était bien géré ! (c'est vous dire !)
Et maintenant, musique !
Et bien ce sera bref et décevant puisque je n'ai absolument pas remarqué la musique lors de la projection. Était-elle inexistante ou trop bien ancrée dans le film (ou j'étais trop à fond ?), toujours est-il que je n'en ai pas le moindre souvenir, elle ne m'a pas laissé un souvenir impérissable. Je ne connais pas le compositeur, Dario Marianelli, mais je lui présente mes excuses. Je n'ai rien retenu de la bande-son (c'est TRÈS rare mais ça arrive), sinon la chanson du générique écrite par Eric Idle. Tenez, j'fais péter :
Donc bilan de la critique de cette petite curiosité d'animation et de ce que j'en ai pensé : Un film à l'animation exceptionnelle, avec une histoire simple mais bien ficelée. Des personnages attachants et drôles, des gags pour les petits et les grands. Et malgré quelques petites longueurs à certains moments du film, on est facilement plongé dans cet univers fou et déjanté. Un petit chef d'œuvre d'animation qu'il ne faut pas rater, et surtout pour lequel on reste APRÈS le générique ;) !!
À bientôt pour de nouvelles critiques ! N'hésitez pas à laisser votre propre avis sur le film dans les commentaires !
Toutes les images issues du film The Boxtrolls dans cet articles